Les clés d'Isis

Transformez vos blessures d'enfance en forces et en pouvoirs

 

transformez vos blessures en forces et pouvoirs cles disis

 

 

Ma blessure du REJET devient forces et pouvoirs

lorsque :

- je prends ma place en toute légitimité et donne du sens à ma vie,

- je suis le/la bienvenue en tout lieu et en toute circonstance,

- je vais plus facilement vers les autres sans rejeter ou me sentir rejeter,

- je suis de moins en moins dans l'évitement et la critique, 

- la solitude n’est plus subie, mais choisie.


Ma blessure d’ABANDON devient forces et pouvoirs

lorsque :

- je me sens bien et complet et que j'aime entreprendre de nouvelles choses seul,
- je deviens indépendant et autonome, 
- je sais mettre de saines limites entre les autres et moi,

- je développe ma sécurité intérieure et je peux m'engager avec quelqu'un.

Ma blessure de l’HUMILIATION devient forces et pouvoirs

lorsque :

- je sais qui je suis et j'écoute mes besoins et mes envies,

- je ne prends plus une remarque pour une critique et que cela ne me touche plus,

- je m'accepte et me respecte,

- je m'apprécie et apprécie les compliments et les cadeaux,

- je suis fier de moi et heureux d'être qui je suis.

Ma blessure d'ABUS et de TRAHISON devient forces et pouvoirs

lorsque :

- je fais confiance à la vie,

- je cesse de ruminer,

- je développe la paix intérieure en toute circonstance,

- je n'ai plus peur d'être lésé

 

Ma blessure d’INJUSTICE devient forces et pouvoirs

lorsque :

- je sais ce que je vaux et je le reçois, 

- je reprends mes pouvoirs intérieurs et je me choisis,

- je vis de plus en plus dans le calme et la détente,

- je sais mettre de la distance avec les événements,

- je vis dans la gratitude.

 

Ma blessure de CARENCES AFFECTIVES devient forces et pouvoirs

lorsque :

- je m'aime et je m'approuve

- je vis en harmonie 

- je me fais confiance et je m'estime

- je me félicite

- je vis de saine relation, sans besoin fusionnel

 

Ma blessure d'AUTO-SABOTAGE devient forces et pouvoirs

lorsque :

- je dis OUI à la vie sans restriction, je me simplifie la vie,

- mes intérêts passent en premier,

- je sais que je suis digne d'être aimé, de recevoir le meilleur,

- je m'autorise à recevoir le meilleur,

- je me donne les moyen d'aller au bout de mes rêves et de réussir.


29/04/2024
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Le parcours difficile des zèbres, ces adultes à haut potentiel

Par ma pratique, je reçois des adultes ayant été des enfants bien souvent maltraités et je peux déceler en eux un zèbre qui s'ignore.

Ces personnes ont vécu bébé, dans un environnement insécure, dysfonctionnel, violent ou négligeant.

Ce bébé qu’ils étaient, a créé des processus pour ne pas souffrir par instinct de survie. Le moyen le plus sûr de se protéger efficacement face à la violence ou à la négligence d’un adulte, c’est de développer la défense passive en apprenant spontanément des mécanismes psychiques adaptés à sa condition et à sa portée de jeune enfant, ce qui aura un impact sur le développement de son cerveau.

Heureusement toutes les personnes à haut potentiel ne sont pas des enfants martyrs…

Beaucoup me disent que leur mental ne leur laisse aucun répit, même la nuit. Ils en ont assez de ces doutes, de ces questions, de cette conscience aiguë des choses, de leurs sens trop développés auxquels n'échappe aucun détail. Ils voudraient débrancher leur esprit, mais ils souffrent surtout de se sentir différents, incompris et blessés par le monde qui les entoure.

 

Le parcours difficile des zèbres, ces adultes à haut potentiel cles disis

 

1 - Les caractéristiques cérébrales des personnes à haut potentiel :

 

- Les deux hémisphères coopèrent et interagissent mieux et plus vite

- Le mode de raisonnement analogique de l’hémisphère droit, fait appel à des aires cérébrales supplémentaires et spécifiques.

- L’activité électrique cérébrale est plus importante par une vitesse de conduction plus rapide des influx nerveux. Les informations circulent mieux et plus rapidement entre les deux hémisphères. De plus, seules les aires indispensables sont activées.

- A activité égale, le cerveau des zèbres consomme moins de glucose, d’où un rendement meilleur.

- plus de neurones, donc plus de neurotransmetteurs qui jouent un rôle important dans l’apprentissage et dans des émotions

- Une plus grande plasticité cérébrale. (mémoire et apprentissage)

- Plus de matière cérébrale en particulier dans le lobe frontal.

- Phase du sommeil paradoxal plus élevé (c’est la phase de sommeil qui consolide les acquis de la journée)

- Flux sanguin augmenté lors de l’activation des zones cérébrales par une activité cognitive.

- Hyperesthésie ou exacerbation des cinq sens (hyper-réactif aux stimuli sensoriels).

 

2 - Les richesses des personnes à haut potentiel :
-  Grande curiosité 
-  Besoin de comprendre, recherche de précision, recherche de la maîtrise.
-  Préférence pour la complexité ; peu d’intérêt pour les tâches simples, faciles et routinières.
-  Modes de raisonnement différents, stratégies mentales différentes.

-  Une pensée riche qui active simultanément plusieurs canaux de réflexion, favorisant la créativité, l’imagination et la flexibilité mentale.
- Vitesse et efficacité de traitement de l’information supérieure à la norme.
- Forte capacité de mémorisation.
- Niveau élevé d’attention, bonne capacité de concentration.

- Imagination débordante, grande créativité.
- Grande capacité d'observation.
- Persévérance : forte si l'intérêt y est; sinon faible, voire nulle.

- Rapidité d'apprentissage.

 

3 - Les caractéristiques émotionnelles des personnes à haut potentiel

- Hypersensibilité, par un ressenti tout en subtilité par rapport au monde extérieur

- Très sensible à la critique.
- Grand sens de la justice, de l'équité, moralité.

- Idéaliste, altruiste et fait preuve d'empathie et adosse le rôle du sauveur.

- Perfectionniste.

- Procrastination

- Rarement satisfait.

- Doute de ses compétences.

- Se sent différent et incompris.

- Peu d’amis et a tendance volontairement à s'isoler.

- Sentiment de rejet, avec l’impression de ne pas être à sa place 

- Besoin de reconnaissance pour trouver des repères.

- Aime la solitude - Vie intérieure riche.

- Auto sabotage - Syndrome de l'imposteur.

- Se perçoivent ou sont perçus, par les autres comme…. «trop»

 

4 - Conclusion 

Toutes ces difficultés émotionnelles et comportementales, qui se répètent dans la vie des zèbres, sont liées à des mécanismes de protection qu'ils ont mis en place durant la petite enfance, conséquence d'un environnement familial dysfonctionnel ou des premières expériences sociales, notamment à l'école où ils se sont sentis différents et inadaptés, développant chez eux une vulnérabilité dans leurs relations inter personnelles et provocant des échecs à répétition dans divers domaines de leur vie aboutissant à un profond mal être.

Il serait vraiment dommage de censurer la richesse que vous possédez et de ne pas la partager.

Il est donc nécessaire d’entreprendre un travail sur vous pour démonter vos réflexes mentaux de protection qui sont devenus des mécanismes de pensée automatiques et donc des réponses de conduite spontanées chez l'adulte que vous êtes devenu, afin de développer la conscience et la connaissance de vous :

- Vous incarner

Consolider votre ancrage identitaire… 

- Apprendre à vivre vos émotions, vous ajuster à votre environnement…

- Créer et vivre des relations authentiques…
- Vous développer, vous construire…

- Trouver votre place, votre voie…

- Dépasser vos difficultés... 


29/04/2024
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Liste des séquelles liées à des violences physiques et sexuelles sur la vie des victimes

Liste des séquelles liées à des violences physiques et sexuelles sur la vie des victimes cles disis

 

 

 

 

 

Liste des conséquences de l'inceste et des violences physiques sur la vie des victimes
Le syndrome post-inceste chez les femmes et les hommes
Liste des conséquences de l'inceste par E. Sue Blume, diplomate in Clinical Social Work, auteure de deux livres : Secret survivors : Uncovering Incest and Its After-effects in Women et You're Still.
Copyright © 1985-2004 par E. Sue Blume, C.S.W., diplômée en travail social clinique.


L’inceste est l’utilisation d’un enfant mineur pour assouvir les besoins sexuels et/ou émotionnels d’une ou plusieurs personnes plus âgées ou plus puissantes ayant des liens émotionnels avec cet enfant (parent, beau-parent, grand-parent, frères et soeurs, baby-sitter, compagnon de la mère, instituteur, rabbin, prêtre, médecin de famille, etc.). Bien que l’inceste soit traditionnellement défini comme des relations sexuelles et /ou un mariage entre des parents proches, par dessus tout il s’agit de l’abus d’un enfant – une attaque aux frontières sexuelles de l’enfant par la personne même qui s’en occupe. Il s’agit d’une violation d’un lien de dépendance, et non pas d’un lien de sang. Et le toucher n’est pas toujours en jeu. Une enfant peut être violentée en lui montrant des photos mal appropriées, par la façon dont on lui parle ou par la façon dont on la regarde.
L'inceste constitue une violation tellement traumatisante que souvent les victimes oublient que cela est arrivé. L'amnésie est un mécanisme de protection mis en place par le cerveau pour garantir le capital vital de la personne. Tant que la personne n'a pas la maturité émotionnelle pour affronter sa réalité, le souvenir reste inaccessible.
Mais les cicatrices émotionnelles sont bien présentes même si elles paraissent déroutantes par leur manque de signification apparente. Les problèmes récurrents dans les relations, la sexualité, la confiance, le contact physique, les dépendances, la dépression, la culpabilité et la honte peuvent donner le sentiment de devenir fou et de perdre le contrôle de soi-même.
Cette liste décrit les conséquences du trauma de l’inceste. Elle offre un profil des expériences post-inceste chez les femmes (et beaucoup des éléments s’appliquent aux hommes aussi), appelées « Syndrome Post-Inceste ». Elle peut être utilisée comme guide pour aider les victime à comprendre qu’il y a des raisons légitimes à leurs difficultés incessantes – et que, en fait, ces « problèmes » sont des tentatives vaillantes pour faire face à une situation impossible et pour répondre à un besoin sous-jacent sain. Beaucoup des éléments de cette liste s’appliquent aussi aux victimes d’abus de l’enfance comme la violence et les coups, ou les enfants élevés dans une famille ayant un historique d’alcoolisme, bien que les abus impliquant l’alcool ne soient pas tous des maladies de l’alcoolisme. Les auteurs de l’inceste utilisent souvent les mêmes arguments pour défendre leur conduite que ceux utilisés par les alcooliques : le déni, la minimisation, et le rejet de la faute. De plus, les auteurs de l’inceste, tout comme les victimes, peuvent dissocier l’abus. Quand-même, l’inceste est toujours la responsabilité de l’abuseur. Bien que les auteurs de l’inceste soient souvent décrits comme « malades », pour la plus grande part ce comportement est un choix – intentionnel, planifié, et volontairement caché.
1. Peur d’être seule dans le noir, de dormir seule. Cauchemars (surtout de viol, de poursuite, de menace, d’être prisonnière, de sang). Terreurs nocturnes.
2. Sensibilité en avalant et haut-le-coeur. Répugner à avoir de l’eau sur le visage en prenant un bain
ou en nageant (sensation de suffoquer).
3. Image du corps mauvaise ou déformée. Être privée, pas en phase ou échec de prendre en compte
les signaux corporels ou de prendre soin du corps. Tricher sur la taille du corps pour éviter l’attention
sexuelle. Propreté compulsive, y compris des bains brûlants, ou bien, inattention totale à l’apparence
ou à l’hygiène.
4. Somatisation, troubles liés au stress : problèmes gastro-intestinaux, troubles gynécologiques (y
compris des infections vaginales spontanées) ; maux de tête ; arthrite, douleurs articulaires ;
fibromyalgie ; terreurs. Aversion envers les docteurs (surtout les gynécologues et dentistes).
5. Port de beaucoup de vêtements, même en été. Vêtements ressemblant à des sacs. N’ôte pas ses
vêtements même quand c’est normal de le faire (en nageant, en prenant un bain, en
dormant). Demande d’une intimité extrême dans les toilettes ou la salle de bain.
6. Addictions. Troubles alimentaires. Abus d’alcool ou de drogue ou abstinence totale.
Comportements compulsifs (y compris dans les affaires).
7. Automutilation (se couper, se brûler, etc.) (On peut gérer la douleur physique) (c’est un mode de
fonctionnement addictif). Autodestruction.
8. Phobies, panique, anxiété.
9. Besoin d’être invisible, parfaite, ou parfaitement mauvaise.
10. Idées suicidaires, tentatives, obsession (y compris « suicide passif »).
11. Dépression (parfois paralysante). Pleurs apparemment sans cause. Tristesse.
12. Problèmes avec la colère : incapacité de reconnaître, de posséder ou d’exprimer la colère, la
rage, la peur de la rage (véritable ou imaginée) colère constante mauvaise cible à la colère, hostilité
intense envers le sexe ou le groupe ethnique de l’auteur de l’abus.
13. Syndromes de Stress Post Traumatique, incluant le choc ou le renfermement en cas de crise ;
l’engourdissement psychique. Des syndromes « hystériques » : douleurs physiques, paralysie,
engourdissement associés à certains souvenirs, émotions (comme la colère), ou situations (par
exemple lors de relations sexuelles). Voir aussi « Flashback » (remémorations).
14. Contrôle rigide du processus de pensées. Manque d’humour ou solennité et sérieux extrême.
15. Pendant l’enfance, se cachait, se mettait dans des coins (comportement pour rechercher la
sécurité). En tant qu’adulte, nervosité à être regardée ou surprise. Sentiment d’être
surveillée. Sursauts. Hyper-vigilance. Se réfugier dans l'enfance, s'accrocher à quelqu'un.
16. Incapacité à faire confiance (faire confiance n’est pas sûr). Confiance absolue qui se change en
rage quand on est déçue. Fait confiance sans discrimination.
17. Prend de hauts risques (« défier le destin »). Incapacité de prendre des risques.
18. Problèmes de contrôle, de pouvoir, de territoire. Peur de perdre le contrôle. Comportements
obsessionnels-compulsifs (tentatives de contrôler des choses qui n’ont pas d’importance, juste pour
contrôler quelque chose). Confusion pouvoir / sexe. (voir aussi numéro 27).
19. Culpabilité / honte / indignité / faible estime de soi / sentiment de n’avoir aucune valeur / haute
estimation de petites faveurs de la part des autres.
20. Schéma répétitif d’être une victime (se brimer soi-même après avoir été une victime des autres),
en particulier sexuellement. Pas la notion de son propre pouvoir ou droit de mettre des limites ou de
dire « non ». Schéma répétitif de relations avec des personnes plus âgées ou plus puissantes (débute
à l’adolescence). Ou bien un sens exagéré des droits. Victime à nouveau par les autres (violence
sexuelle adulte, y compris exploitation sexuelle par l'autorité.
21. Envie d'aimer et d'être aimé, savoir-faire instinctivement ce que l'autre personne veut ou
espère. Relations = gros compromis. Abnégation.
22. Troubles de l'attachement. Sentiment d’abandon. Désir de relations fusionnelles. Évitement / peur
de l’intimité.
23. Dissociation : amnésie de certaines périodes des jeunes années (surtout 1 à 12 ans), de certaines
personnes ou de certains lieux. /Création de mondes ou d’identités imaginaires (y compris des
femmes s’imaginant être des hommes, = pas victime). Trouble de Dissociation de l’Identité (qu’on
appelait Trouble de Personnalités Multiples).
24. Sentiment de porter un terrible secret. Besoin de le dire / peur qu’il soit révélé. Certitude que
personne n’écouterait. Est généralement réservée. Se sent « marquée » (on peut voir un signe).
25. Se sent folle. Se sent différente. Se sent irréelle alors que les autres sont bien réels, ou
inversement. Se crée des mondes imaginaires. Problèmes cognitifs.
26. Déni (pas de conscience de ce qui s’est passé). Répression des souvenirs. Faire semblant.
Minimiser (ce n’était pas si grave). Amnésie partielle, flash, lumière, lieux, sensations physiques ou
totale (la guérison peut intervenir même si on ne souvient pas de tout). Votre inconscient libère les
souvenirs au moment où vous êtes capable de les affronter.
27. Problèmes sexuels : le sexe est « sale ». Aversion d’être touchée. Forte aversion (ou besoin) d’un
acte sexuel particulier. Se sent trahie par son propre corps. Difficulté à intégrer sexualité et affectivité.
Confusion ou mélange de affection / sexe / domination / agression / violence. Besoin de rechercher le
pouvoir dans le domaine sexuel – qui est en fait mimé (abus sur soi-même, manipulation
[principalement les femmes]). Abus des autres [principalement les hommes]. Séductrice compulsive
ou asexuée compulsive. Doit être agresseur sexuel ou impossibilité de l’être. Relations sexuelles
impersonnelles, « très libres » avec des étrangers, en même temps qu’une impossibilité de relations
sexuelles dans une relation intime (conflit entre le sexe et l’affection). Prostituée, stripteaseuse, sexe
symbole, actrice porno. Mime des actes sexuels pour assouvir des besoins de colère ou de
vengeance. Addiction au sexe. Évitement. Blocage. Pleure après l’orgasme. Le flirt est ressenti
comme une violation. Sexualisation de toute relation significative. Réponse érotique à l’abus ou à la
colère, fantasme de domination / viol réel (qui procurent de la culpabilité et de la confusion). Enceinte
à l’adolescence. Note : l’homosexualité n’est pas une conséquence de l’inceste.
28. De façon répétitive, des relations ambigües ou intensément conflictuelles (l’abus est chose
familière ; également, dans une vraie intimité, les problèmes risquent plus de ressurgir – dans des
relations problématiques, l’attention est détournée du vrai problème de l’inceste). Note : les
partenaires des survivants souffrent souvent des conséquences des Syndromes Post-Inceste (surtout
au niveau sexuel et des relations).
29. Évite les miroirs (relié à l’invisibilité et aux problèmes de honte et de faible estime de soi. Image
déformée de son visage ou de son corps. Trouble de Personnalité Dissociée).
30. Désir de changer de nom (pour se désassocier d’avec l’auteur, ou pour prendre le contrôle est se
nommant par soi-même).
31. Faible tolérance pour le bonheur. Se retire activement / difficulté pour avoir confiance dans le
bonheur (fragile).
32. Déteste faire des bruits (dans les relations sexuelles, en pleurant, en riant, ou d’autres fonctions
corporelles). Hyper-vigilance verbale (choisi ses mots avec soin). Parle à voix basse, surtout quand on
a besoin de l’entendre.
33. Vols (adulte). // Vols / met le feu (enfant).
34. Sensibilité à certaines nourritures, selon la texture (mayonnaise) ou l’aspect (hot-dog), qui
rappellent au survivant l’abus ; ou des couleurs, des sons ou odeurs qui en rappellent l’auteur.
Aversion pour la viande, pour les aliments rouges.
35. Honnêteté compulsive ou malhonnêteté compulsive (mensonges).
36. Hyper-vigilance en ce qui concerne l’abus des enfants ; ou incapacité de voir les abus sur les
enfants ; ou évitement de toute attention ou évocation de l’abus des enfants. Tendance à avoir des
relations avec des auteurs d’inceste.
37. Troubles de la personnalité. Maladies psychiatriques (NOTE : Le Syndrome Post Inceste est
souvent mal diagnostiqué et confondu avec ceux-ci).
Note aux thérapeutes et aux survivants : Certains éléments de la liste sont fortement reliés aux abus
sexuels de l’enfance. Néanmoins, plus de 25 éléments devraient être identifiés avant de suspecter
l’inceste. Avancez avec prudence !
Victimes et conjoints, soyez bienveillants avec vous-même, et l’un avec l’autre.


29/04/2024
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Les répercussions de la maltraitance infantile sur l'adulte

Rien ne prépare le cerveau d'un bébé ou d'un enfant en bas âge à subir de la violence de la part de sa mère ou de ses parents. En effet, le comportement inné de sauvegarde qui prépare en quelques dixièmes de seconde l’individu à fuir ou à combattre est totalement inadapté lorsque la menace ou l’agression vient de la mère (parent) et dans ce cas, cette réaction de défense devient destructrice.

Lorsqu'un enfant subit des mauvais traitements de façon récurrente, les répercussions de la maltraitance agissent sur le développement physique et psychologique et risquent de s’inscrire sur le long terme quand l’enfant est devenu adulte. 

 

répercutions de la maltraitantce cles disis

 

1) Qu'est-ce que la maltraitance de l'enfance ?

  

Il est difficile de dire exactement combien d’enfants sont maltraités en France car beaucoup de situations sont cachées. 

 

- Les violences physiques

C’est toute forme d’atteinte au corps de l’enfant.

- Les violences sexuelles

C’est quand une personne fait participer un enfant à des activités sexuelles qu’il ne peut pas comprendre et qui ne sont pas de son âge.

- Les violences psychologiques

Elles sont vécues en silence par l'enfant qui ne comprend pas ce qui lui arrive et ne peut s'expliquer la méchanceté de l'adulte qui l'agresse ni sa cruauté.

ces manifestations s'exprimant sous forme de : 

-         manipulations 

-         brimades - critiques

-         accusations infondées - culpabilisations

-         punitions - menaces

-         privations - négligences

-         humiliations verbales - moqueries

-         assujettissements

-         contrôle - surprotection

-         isolement  

 

 

2) Les répercussions de la maltraitance sur l'enfant-victime.

Le jeune enfant victimisé va apprendre à agir et à penser de manière défensive, motivé par son instinct de survie contre la ou les adultes qui l’agressent. Le moyen le plus sûr de se protéger efficacement face à un agresseur adulte, c’est de développer la défense passive en apprenant spontanément des mécanismes psychiques adaptés à sa condition et à sa portée de jeune enfant.

 

Dans les cas extrêmes de maltraitance et qu'elle n’est plus du tout supportable pour l’enfant, le seul mécanisme de survie qui lui reste c'est la fuite, avec les fugues, les disparitions, le suicide, la dissociation, le repli sur soi, le retrait dans un monde fantasmatique.

 

 

3) Les répercussions de la maltraitance à l'âge adulte. 

En voici les caractéristiques principales :

1 - Manque d’assurance - Faible confiance en soi et à autrui - Peur de s’exprimer - Peur du regard des autres - Tendance aux ruminations.

2 - Passivité - Soumission - Dépendance - Manque d'autonomie.

3 - Besoin des autres pour s’assumer.

4 - Ignore ses besoins et ses désirs - Démissionne facilement devant l'échec - Ne prends pas de risque.

5 - Faible estime de soi - Vulnérabilité.  

6 - Découragement - Mauvaise image de soi -

7 - Auto-dévalorisation - Auto-dérision.

8 - Isolement - Replis - Peu de vie sociale et affective.

9 - Tendance à l’introversion - Incapacité totale de parler de ses propres émotions et sentiments.

10 - Tendance à l'auto punition, l'auto sabotage avec des pensées suicidaires ou morbides.

 

Les réflexes mentaux de protection et de survie mis en place très tôt, s'étant révélés efficaces durant l’enfance et l'adolescence, vont devenir des mécanismes de pensée automatiques et donc des réponses de conduite spontanées chez l'adulte.

 

 

4) Comment se libérer des réponses réflexes ?

Après un travail de libération cognitive, les souvenirs de situations pénibles endurées peuvent demeurer dans la mémoire mais ne parasitent plus la vie de la personne. Celle-ci est enfin parvenue à mettre les réminiscences des violences de l'enfance, au rang du passé définitivement. Dans ce cas, le caractère obsessionnel des images mentales et les souffrances liées à celles-ci, s'effacent.

Il faut pour atteindre ce but, en particulier grâce aux scripts EFT qui agissent sur la plasticité cérébrale, démonter les mécanismes réflexes et redonner de saines informations au cerveau.

 

 


29/04/2024
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Les 13 types de parents toxiques

Il est difficile d’accepter que le mode éducatif de vos parents ait pu nuire à votre épanouissement et créer une prison psychique et affective, ce qui nécessitera une prise de conscience et la mise en place d'un travail de libération et de reconstruction. 

Les 13 types de parents toxiques cles disis

 

 

 

 LES 13 TYPES DE PARENTS TOXIQUES 

 

1 - Les parents dieux 

Au lieu d’encourager un développement sain, les parents toxiques le sapent, souvent persuadés que c’est pour le bien de l’enfant. Il en résulte des vrais ravages sur l’amour propre de l’enfant.

L’enfant pense soit qu’il est mauvais et que ses parents sont bons, soit qu’il est faible et ses parents sont forts.

Ces croyances puissamment ancrées restent et pour reprendre sa vie en main, il faut affronter la vérité, ses parents « divins » l’ont trahi au moment où il était le plus vulnérable. Pour se protéger de cette terrible vérité l’enfant préfère établir des mécanismes de défense.

   

2 - Les parents déficients

Les parents déficients sont souvent dans l’incapacité à répondre à ces besoins et souvent ils comptent sur leurs enfants pour prendre soin de leurs propres besoins. Dans ce cas les rôles familiaux deviennent flous, déformés ou inversés. L’enfant n’a pas de modèle pour apprendre et progresser. L’enfant est privé de son enfance.

 

3 - Les parents dominateurs

L’autorité de ces parents toxiques devient abusive, si elle retient l’enfant et l’empêche de faire ses propres expériences.

L’enfant devient alors craintif et anxieux. Il a un grand sentiment d’impuissance et de dépendance.

L’autorité peut être manifeste, c’est alors un contrôle direct qui s’accompagne souvent d’intimidation, d’humiliation ou de violence.

 

4 - Les parents manipulateurs

La manipulation est un instrument de contrôle délibéré destructeur. Les parents toxiques jouent au « bon samaritain » en provoquant des situations où l’enfant a besoin d’eux. S’il essaie d’exprimer sa frustration, il se sent coupable devant la « bonté » du parent et ce dernier prend des attitudes de « martyr ».  

La rivalité fraternelle est également utilisée en comparant les enfants, les uns aux autres. 

  

5 - Les violences verbales

L’abus verbal consiste à lancer des attaques répétitives contre l’aspect physique de l’enfant, contre ses capacités intellectuelles, sa compétence ou sa valeur.

Les abus de ces parents toxiques peuvent être :

- directs : en accusant l’enfant d’être stupide, bon à rien ou laid.

- moins directs : railleries, surnoms et remarques dévalorisantes souvent sous le masque de l’humour.

L’enfant croit ce que les parents disent de lui et même devenu adulte.  

 

6 - Le parent rival

Il entre en compétition avec son enfant souvent au moment de l’adolescence car il sent son autorité menacée. Inconsciemment ces parents veulent faire de sorte que leurs enfants ne puissent pas les surpasser. Les enfants ne s’autorisent pas la réussite pour ne pas déplaire à leurs parents.

 

7 - Les parents perfectionnistes imposent à leurs enfants des buts, des ambitions impossibles à atteindre. Si l’enfant échoue, il devient un bouc émissaire pour endosser les problèmes familiaux. Ses parents toxiques le tyrannisent avec des exigences de perfection et se servent des violences verbales dévalorisantes ou physiques pour se sentir eux-mêmes forts et pleins d’autorité.

 

8 - Les mots meurtriers tels que «tu as gâché ma vie» infligent une terrible souffrance chez l’enfant. Il emmagasine ces messages et pense vraiment qu’il est mauvais, bon à rien. Il doute qu’il soit capable, estimable, digne d’amour à l’âge adulte.

 

9 - Les sévices corporels

Ce type de parents toxiques présente un grand manque de contrôle dans leurs impulsions. Quand ils éprouvent de forts sentiments de frustration, ils frappent leurs enfants pour se défouler. Un climat de terreur s’installe. 

  

10 - La justification

Certains parents se justifient, essayant de rejeter la faute sur une tierce personne ou sur l'enfant lui-même, ou en affirmant que « c’est pour son bien ».

 

11 - Mauvais traitements et amour

Il y a parfois association de mauvais traitements et moments de tendresse. Ces messages de natures contradictoires augmentent la confusion chez l’enfant. 

 

12 - Violences et abus sexuels

- L’inceste est le rapport sexuel d’un enfant avec un parent ou un proche. L’inceste inclut tous contacts physiques du corps de l’enfant. 

- Les abus sexuels sont des comportements où il n’y a pas contact avec le corps de l’enfant comme : l’exhibitionnisme, la masturbation en présence de l’enfant, épier l’enfant quand il est nu...

 

13 - La jalousie parentale

La relation incestuelle lie la victime à un de ses parents de façon intense et malsaine. En particulier dans le cas père/fille, le père devient souvent fou de jalousie vis à vis des garçons qu’elle fréquente et vit cela comme une trahison, une infidélité. Il lui arrive de la battre, de la menacer pour lui mettre dans la tête qu’elle n’appartient qu’à un seul homme, son papa.

Ces messages inscestuels sont aussi destructeurs et toxique que l’inceste lui-même

 

 

mères maltraitantes cles disis

6 portraits de mères mal-aimantes


Il est toujours difficiles de reconnaître que vous avez manqué de l'amour de votre mère ou que celle qui devait vous aimer et protéger n'était autre qu'une marâtre. Ces mères qui n’aiment pas ou ne savent pas aimer leurs enfants sont bien plus nombreuses qu'on veut bien l’admettre et les répercussions chez les adultes sont notamment l’impossibilité de créer des relations saines et épanouissantes et de développer leur autonomie.

 

La mère narcissique 

Elle souffre d’un profond sentiment d’insécurité et très centrée sur elle-même dû à son manque de maturité, elle a un besoin constant d'être le centre du monde. Elle considère ses enfants et surtout ses filles comme des rivaux et n’hésite pas à saboter leur confiance et à nuire à l'édification de leur personnalité et de leur amour propre. C'est une virtuose de la dramatisation, du déni. Et lorsque les enfants sont devenus adultes, cette mère redouble de rivalité et de travail de sape.

 

La mère accaparante 

Parce qu'elle souffre profondément de la peur de l'abandon, elle s’impose, s’insinue dans votre vie, manipule pour vous faire aller où elle veut vous emmener, persuadée qu’elle fait ça par amour. Elle crée un climat de culpabilité et vous rend redevable. Elle ignore délibérément vos besoins et vos désirs et vous rend responsable de son bonheur.

 

La mère dominatrice

Parce qu'elle redoute l'échec et qu'elle vie continuellement dans l'insécurité, elle dicte à son entourage le comportement qu’il doit adopter. Par son besoin de contrôle et un sentiment de supériorité, elle planifie, calcule, organise selon un plan qu’elle a élaboré seule avec beaucoup de soin. Le moindre changement la contrarie. Rien n’est laissé au hasard. Elle ne souffre pas qu'on lui résiste.

 

La mère sadique

Tous les coups sont permis pour cette mère que se nourrit de la souffrance de ses enfants. Les violences physiques, les violences sexuelles et les violences psychologiques font partie du mode opératoire de cette mère, ouvertement et subtilement qui est le moyen le plus destructeur.

 

La mère négligente

Elle rejette son rôle protecteur et néglige les besoins de bases de ses enfants, souvent absente et indifférente, elle prive tout simplement ses enfants de soins maternels. 

 

La mère castratrice

Elle cherche à diriger les hommes sans les laisser assumer leur rôle. Elle veut dominer dans les relations et en particulier vis-à-vis de leurs enfants et notamment de leur fils. Elle empêche l'épanouissement de leur enfant en le brimant ou en faisant en sorte de l'empêcher, consciemment ou inconsciemment, de s'affirmer de façon masculine ou de prendre leur autonomie.

 

 


29/04/2024
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